Catégories : Rencontres BDSM Bondage Shibari Kinbaku
il y a 4 ans
Prologue : Salut, moi c'est Jérémy, j'ai 24 ans et je suis le héros de l'histoire ! Plus sérieusement, je suis un brun qui mesure 1m83 pour 78 kg, j'ai donc une morphologie "moyenne", ni gros, ni maigre. Grâce a cette chose incroyable qu'est internet, j'ai pu découvrir cette autre chose encore plus incroyable : le bondage. N'ayant jamais pratiqué, je possède quand même quelques "bases", à f o r c e de voir des vidéos, on commence à comprendre le principe. Mais n'empêches que c'est forgeant qu'on devient forgeron et là... Je suis loin d'être forgeron. Sinon, je suis toujours à l'école, en étude supérieure mais cela ne m’empêche pas de sortir de temps à autres. Après cette courte mais utile présentation, je vous laisse profiter de cette histoire... Ha oui et bonne lecture !
Chapitre 1 :
Ce soir, je ne suis pas chez moi. Ce soir, je sors chez une amie... Amie tout court d'ailleurs. Je suis vraiment heureux de sortir avec elle ce week-end + lundi (merci les jours féries), entre ses cours et les miens on n'a pas souvent le temps de se retrouver, surtout lorsqu'on habite à 2 heures de route. Mais ce n'est pas nos études et 2 heures de route qui vont briser une amitié aussi vieille ! Nous nous sommes toujours très bien entendu, certaines personnes se demandaient même pourquoi on ne sortait pas ensemble. Déjà parce qu'une amitié ne débouche pas forcement sur une relation amoureuse, puis si nous étions sortis ensemble ça n'aurait pas duré plus de deux semaines et au mieux on serait resté ami (mais pas vraiment comme avant), au pire on aurait coupé toute relation.
Non, non, non, quand tout se passe bien, on ne change rien, nous sommes seulement très complices ! Le programme est plutôt simple, elle ne passe pas très loin de chez moi, du coup elle fait un petit détour pour venir me récupérer chez moi, ou plutôt chez papa et maman (oui à 24 ans) avant de filer chez elle. Elle passera relativement tard du coup nous prendrons des pizzas devant un bon petit programme télévisuel ou au moins pas trop nul. D'ailleurs, où avais-je la tête ? Elle va bientôt arriver et je ne vous l'ai même pas présentée !
Elle s'appelle Manon, c'est une belle brune d'un mètre 78, quant au poids... Vous savez bien que ça ne se demande pas ! Ce que je peux vous dire c'est qu'elle est bien comme elle est. Elle a 25 ans soit un de plus que moi, mais on est de la même année. Elle a des yeux bleus et un sourire ravageur qui correspond bien à la morphologie de son visage. Son visage est sa principale qualité à entendre les autres. Maintenant vous voulez que je vous parle de ses seins et de ses fesses, hein ? Bah sachez qu'il n'y a rien à signaler de ces 2 côtés : ni trop petit, ni trop gros, ce qu'il faut, là où il le faut. Désolé de vous décevoir messieurs. En tout cas, elle arrive.
Après s'être garée, nous nous faisons la bise. Aujourd'hui elle porte un cuir noir avec en dessous un débardeur blanc, elle utilise une échappe noire avec des nuances de rouge et de bleue foncé. Plus bas, elle porte un slim noir avec des bottines également noir, aujourd'hui elle s'est mise du verni rouge assez discret. Moi, je suis en touriste : tshirt noir sans motif, short en jean et claquette. Une fois mes affaires déposées dans le coffre, nous voilà parti vers son appartement. Je connais déjà son appart et je dois dire que je suis plutôt jaloux, situer dans un petit immeuble, il est relativement éloigné de la ville sans en être trop loin et même si l'appart est plutôt petit, il possède le nécessaire pour y vivre convenablement. De plus, l'immeuble n'est pas blindé donc le propriétaire laisse un appart de libre entre chaque locataire même s'il y a quelques exceptions dans l'immeuble. Ça ne sera pas notre cas, Manon n'a toujours pas de voisin.
Cela faisait un moment qu'on s'était pas vue, il n'y a pas eu un seul blanc pendant les 2 heures de route. On se remémorait de vieux souvenir, on se taquinait... En chemin, nous prenons des pizzas, qu'est-ce serait une vraie soirée sans pizza ? Une fois arrivée à son appart avec les pizzas, nous les posons sur la table, puis nous retirons nos blousons pour les poser sur le porte manteau. Elle retire également ses bottines ainsi que ces chaussettes blanches qu'elle dépose dans une caisse à côtés du porte manteau. L'entrée de son appart donné directement dans le salon, son canapé ainsi que sa télé se situe à droite, un peu plus loin nous pouvons trouver la table à manger. A gauche, une porte mène à sa chambre qui est rattachée à une petite salle de bain. Enfin, au fond à gauche du salon dans l'angle créer par la chambre et la salle de bain nous pouvons trouver la cuisine.
Comme des gamins, nous préférons manger sur le canapé avec la boite et les canettes. Devant une émission assez sympa, nous continuons de discuter tout en mangeant notre pizza. On finit avant même que les films de la soirée débutent ! De toute façon il n'y avait pas l'air d'avoir grand chose à regarder, on zappé en espérant trouver notre salue. Finalement, nous choisissons un bêtisier, simple mais efficace pour passer une bonne soirée. Je m'attendais à rien d'extraordinaire ce soir, jusqu'au moment où nous tombons sur une bande d'annonce d'un film que la chaîne allait bientôt diffuser, elle racontait l'histoire d'une baby-sitter qui devait garder des gamins pendant tout un week-end. La bande annonce montre que la pauvre baby-sitter se fera ligotée et bâillonnée par les plus grands, ligotage plus que moyen au passage. Sachant que Manon est également baby-sitter, je lui demande si ça ne lui est jamais arrivé. Elle me sourie avant de répondre :
-
Non jamais, j'ai toujours gardé des anges et heureusement pour moi. Elle s'arrête un moment avant de reprendre :- Tu penses que je devrais m'entraîner ?
-
Comment ça ?
-
Bah si un jour je me retrouve attachée, je pense que ça serait pas mal si j'arrive à me détacher avant que les parents arrivent ou que la maison soit retournée. La honte quand même.
Je lui répondis en riant légèrement :
-
Parce que tu penses vraiment pouvoir te retrouver attacher par un enfant un jour ?
-
On sait jamais, je ne garde pas que des enfants 8 ans tu sais. En plus il suffit juste que le gosse est 2-3 notions en nœud et je suis dans la merde.
Elle même rit à ce qu'elle dit.
-
Pourquoi pas, mais je t'attache avec quoi ?
-
Attend je reviens.
La soirée prend une tournure bizarre, mais ce n'est pas pour me déplaire. Aucun de nous deux prend ça au sérieux et je n'ai pas l'intention de l'attacher sérieusement, je ne veux pas trop la fâcher. Par contre, si elle revient avec tout un équipement SM, là je ne saurai pas comment réagir. Et heureusement, lorsqu'elle revient elle n'a qu'une corde blanche (sans être pale) d'environ 5m. Elle m'explique qu'elle s'en sert comme corde à sauter lorsqu'elle garde des filles, elle organise souvent des concours. Une fois la corde en main je me rends compte qu'elle est plutôt robuste et qu'elle peut parfaitement remplir sa fonction, elle ne cassera pas en 2 si on force. Elle me lance un " C'est parti !" avec un magnifique sourire tout en tendant ses mains. Elle à l'air presque content de se retrouver ligotée ou alors elle juste contente d'avoir trouvé une vraie activité amusante pour cette soirée au lieu de ce bêtisier. Mais trêve de blabla, je croise ces poignets et je commence à les lier.
-
Je ne te fais pas trop mal ?
-
Non ça va.
J'ai choisi d'attacher ses main devant plutôt qu'à l'arrière alors que j'ai horreur de ça d'habitude car il est plus simple pour la victime de retirer son bâillon. Une fois les tours faits, je lui fais un nœud assez simple à défaire mais assez serré pour pas qu'elle ne pense pas que je me fous de sa gueule. Même si la baby-sitter de la télé était bâillonnée, la mienne à droit à un sursis, on ne va pas aller trop loin au début.- Voilà le travail est fini- Ok voyons de quoi je suis capable.
Elle commence à se débattre, elle grimace en forçant, mon nœud n'est pas si ridicule. N'y arrivant pas avec la manière brute elle essaye autrement, elle lève sa jambe gauche et la fait passer entre ces 2 bras puis, avec son pied, elle pousse sur son lien. Je comprends ce qu'elle cherche à faire, faire glisser le nœud jusqu'à être libre, mais là elle va seulement se faire mal.
-
Ha oui, t'avais vraiment besoin d'un entraînement !
-
Tu vas voir, bientôt plus rien ne me résistera
-
En fait, j'essaye de te dire subtilement que tu ne te prends pas de la bonne manière
-
Ha d'accord...
Elle se sent un peu bête et repose son pied par terre avant de me regarder en cherchant ce que je voulais dire. Je lui réponds d'un haussement d'épaule avant de détourner mon regard vers le bêtisier tout en gardant un œil sur elle. Elle regarde son lien jusqu'à atteindre l'illumination ! Elle utilise (enfin) enfin ses dents pour défaire le nœud !
-
Je commençais à croire que tu n'aurais jamais compris
-
J'apprends, c'est tout.
Finalement elle se défait de son lien sans soucis. Enjouée, elle me lance :
-
On passe au niveau 2 ?
-
Commença le niveau 2 ?
-
Ne me fais pas croire que c'est tout ce que tu peux faire ! Certains gosses ferait pire, enfin après les e n f a nt s ont plus d'imagination qu'un vieux comme toi.
-
Tu m'as donné qu'une corde je te signale
-
C'est pas faux.
Elle repart et revient avec du ruban adhésif gris, le classique quoi. Elle m'explique qu'un ami lui avait prêté ce rouleau pour ses quelques cartons de déménagement et finalement il lui aurait donné. A vue d'œil, il reste facilement une 15éme de mètres, à mon avis elle ne l'a pas beaucoup utilisé.
- Si avec ça t'arrive pas à être plus créatif, on annule tout notre week-end.
Mission acceptée...
Chapitre 2 :
Je ne sais toujours pas comment on a pu en arriver là. En tout cas, j'apprécie se retourne de situation, tout comme elle d'ailleurs. Serait-elle aussi en train de tomber amoureuse du bondage ? C'est un peu tôt pour le dire, mais elle n'a pas l'air de détester. On va voir si elle apprécia le niveau 2. A la fois motivé et excité par ce niveau, elle me tend ces deux poignets devant moi.
-
Non, derrière le dos sinon c'est trop facile
-
Ce n'est jamais trop dur avec toi de toute façon.
C'est le deuxième tacle en moins de 5 minutes, elle va le regretter ! Je commence à l'attacher avec l'aide du ruban adhésif, j'utiliserai les cordes lors du niveau 3 car, telle que je la connais, elle va vouloir me prouver sa supériorité en réussissant tous les niveaux. Ça m'étonnerait même pas que je me retrouve aussi ligoté avant la fin de la soirée, ce qui ne me déplairait pas. J'ai l’attention d'utiliser pas mal de ruban adhésif pour les mains, même si je dois en garder pour plus tard, tout en alternant entre les mouvements vers l'horizontal et la vertical pour s'assurer un minimum d’efficacité. Une fois le travail terminé, elle teste rapidement ces liens, ça m'a l'air réussi. Elle me demande avec humour :
-
Tu t'es entraîné toute ta vie pour faire ça ?
-
Tu penses que c'est trop dur pour toi ?
-
C'est pas ce que j'ai dit
-
Tant mieux parce que je n'ai pas fini.
Maintenant on attaque les pieds, moins important j’utilise moins de ruban mais assez pour pas qu'elle défasse ces liens facilement. Quelques tours également pour les cuisses et ça sera parfait.
-
Tu peux en mettre partout si ça t'amuse maintenant j'ai la technique !
-
D'ailleurs tu ne te rappelles pas d'un détail lors de la bande annonce ?
Elle me regard d'un air interloqué.
-
Heu... Non
-
Elle avait un bâillon et tu vas aussi y avoir droit
-
T'es aussi fourbe qu'un gosse toi, dit-elle avec un large sourire
Je tire une bande et lui la colle délicatement contre la bouche, elle n'essaye pas de se défendre. Je lui fais comprendre qu'un seul n'est pas suffisant et qu'il va se décoller toujours avant de rajouter 3 nouvelles bandes.
-
Essaye de te détacher avant la fin du bêtisier
-
Mmmmph.
Elle commence par essayer de retirer son bâillon avec l'aide de son épaule puis des genoux. Elle veut sans doute me prouver que mon bâillon peut être retirer facilement, dommage pour toi. Comprenant que ce n'est qu'une perte de temps, elle passe à ces poignets. Elle tente la f o r c e brute, voyant que ça ne sera pas suffisant elle analyse le lien. Ses bras n'étant pas liés, elle n'a aucun mal à faire passer son poignet face à sa tête. Elle tenta même à nouveau de retirer le bâillon avec ses doigts : encore raté. Tant pis, elle se reconcentre sur ses poignets et essaye de les défaire avec l'aide de ses doigts. Même si elle semble avoir légèrement desserré, elle fini par abandonner au bout de quelques minutes. Elle pose ces deux pieds sur a table, lâche un soupir et prend une petite pause.
-
A ce rythme là, on y est encore demain
-
Mmmmph
Sans doute un "ferme là".
- Vite, il ne te reste que 30 à tout casser avant la fin du bêtisier.
Elle m'ignore avant de repartir au combat au bout de quelques minutes. Elle gigote dans vraiment tous les sens, même debout. Et je ne pense pas que ça soit qu'une impression, mais les liens au niveau des poignets commencent à réellement à partir. En même temps, elle donne toutes ces forces dans ses poignets, elle a très vite compris que ça ne servait pas grand chose de libérer ces pieds, ou alors elle a abandonné tout simplement.
Le bêtisier est presque fini, faut que les liens tiennent encore un peu... Mais elle parvient à défaire ces liens sur la dernière ligne droite. Elle laisse échapper un rire de satisfaction étouffé par le bâillon, quelle retire en premier :
-
Tu vois, tu n'es pas si doué que ça
-
On verra si tu dis la même chose après le niveau 3.
Elle réfléchit avant de décliner le défi.
-
Il commence à faire tard, demain peut être.
-
Ok pas de problème.
Et moi qui pensai que j'allai finir ligoté avant la fin de la soirée, j'y ai échappé. Elle reprend le ruban et va le ranger. Je l'entends faire un détour dans sa chambre en revenant avec un grand sourire.
-
Qu'est-ce qui se passe ?
-
Non rien je pensais à un truc.
Le bêtisier terminé, on décide d'aller dormir. Je vais avoir l'honneur de dormir dans sa chambre, le canapé n'étant vraiment pas fait pour dormir. Son lit est légèrement placé à gauche de la pièce qui possède un nombre modeste de meuble. On peut également trouver une porte à gauche qui mène à la salle de bain où elle part se changer. J'en profite pour installer mon sac de couchage sur le matelas qu'elle a emprunté spécialement pour moi. Me voyant mal me balader en caleçon chez elle, j'ai pris un short pour dormir avec, je ne pense pas que le fait que je sois torse nu lui pose un problème. Elle finit par sortir de sa salle de bain avec son pyjama noir sans motif. J'ai pas peux m’empêcher de laisser échapper un petit rire.
-
Tu as un problème contre mon pyjama ?
-
Non rien, ça fait juste bizarre de te voir comme ça.
Nous discutons une bonne partie de la nuit avant de s'endormir.
Le matelas était confortable et je dormais plutôt bien jusqu’à que je sente un petit air frais ainsi que mes bras... Qui partait derrière mon dos. Je commence à réagir en bougeant mes bras, mais mes poignets sont retenus par du ruban adhésif, quand je vous disais que l'allai finir ligoté mais je ne pensai pas être pris en traître. Une fois attaché, elle me retourne et je lui lance :
-
C'est comme ça que tu traites les gamins ?
-
Seulement les sales gosses comme toi
-
Heureusement que je n'ai pas eu une babysitter comme toi
-
Si c'est pour être désagréable autant te faire taire.
A ces mots, elle me bâillonne avec seulement une bande, en jouant avec je vais pouvoir le retirer.
- étouffer mais audible Satisfaite ?
Elle n'a pas l'air satisfaite du bâillon.
-
Même avec un bâillon t'arrive à ouvrir ta grande bouche
-
étouffer Et oui !
Elle regarde autour d'elle, son regard s'arrête au niveau de mon sac. Là, ça ne sent pas bon pour moi et ma grande gueule.
- J'ai une idée !
Elle me retire mon bâillon.
-
Tiens, j'ai droit un sursis ?
-
Ne prend pas tes désirs pour la réalité
-
Je m'attendais à cette réponse.
Elle attrape ma paire de chaussette puma gris que j'avais sortie pour aujourd'hui et la défait. Elle en prend juste une et commence à la plier.
-
Tu débordes d'imagination
-
Il est vraiment temps que tu te taise.
Elle tente d'introduire la chaussette pliée au moins 4 fois dans ma bouche, mais je résiste en la maintenant fermée. Tu ne croyais pas que ça aller être aussi facile ?
- Ne m'oblige pas à pincer ton nez.
Merde, elle connaît la technique. Tans pis, pas le choix je dois coopéré.
-
Voilà, c'est mieux
-
Mmmmph (Contente maintenant ?)
-
Mon génie t’a fait taire
-
MMMMMMMMMPPPHHH (N'importe quoi !)
-
Attends, il manque un détail.
Elle reprend le ruban et l'entour autour de ma bouche. Ok, je m'attendais vraiment pas à ça. Elle fait 3 tours avant d'admirer son oeuvre.
-
T'es beau comme ça
-
Mmmmphhhh (T'es folle)
-
Maintenant je dois m'assurer que tu ne t'enfuiras pas.
Elle retire ma couette pour ligoter mes pieds, elle fait plusieurs tours et le résultat est propre et efficace. Elle remet la couette en me disant :
-
Hop, on va éviter que tu attrapes froid. Moi je vais me changer dans la salle de bain, soit sage en attendant... Et que je ne t'entends pas !
-
Mmmmm mmm mmmmph (Comme si je pouvais en faire)
C'est maintenant où jamais pour se libérer, surtout que les liens aux poignets sont loin d'être aussi efficace qu'elle le pense... Amateur.
Chapitre 3 :
Je dois bien l'avouer : j'adore ça ! Mais malheureusement ou heureusement, je ne sais pas encore, je vais devoir me libérer, il y a une t or t i o n na i r e à punir ! Elle est encore à côtés en train de prendre ses habits pour aujourd'hui.
-
Tu me conseilles quoi pour aujourd'hui ?
-
Mmmm mm mmmmmphhh (De me détacher ?)
-
Ha c'est vrai j'avais oubliée, excuse moi
-
Mmmm (soupir)
Fait la maligne tant que tu peux, mais mes poignets sont loin d'être vaincus. J'ignore si c'est parce que tu t'es précipité ou si je t'ai surprise lorsque je me suis réveillé, mais c'est bâclé t'aurai pas la moyenne si c'était noté. Pendant qu'on discutait j'ai pu le tester et déjà partiellement défaire mes liens aux poignets, une fois que tu seras partir j'aurai plus qu'à finir le travail !
-
Bon soit sage ok ?
-
Mmmmm (T’inquiète)
-
Ha qu'est-ce que c'est agréable !
La porte de la salle de bain refermée je commence à me débattre, ironiquement j'arrive à éloigner mes poignets, mais ils restent liés avec le ruban adhésif. Mes pieds sont cependant bien ligotés, je ne vais pas pouvoir défaire ces liens sans l'aide de mes mains. Je continus de me débattre, le peu de bruit que je fais est étouffé par le bâillon extrêmement efficace. Je parviens finalement à décoller mon poignet gauche, sans perdre de temps, je retire le ruban qui relie mes pieds. Le bâillon attendra, je dois être prêt avant qu'elle est fini de se changer. Par chance elle a laissé le ruban adhésif sur son lit, il en reste assez pour une nouvelle séance. Je le prends avant de me cacher derrière la porte. Au bout de quelques secondes, elle finit par sortir. Aujourd'hui, elle a décidé de porter un tshirt blanc avec des épaulettes noires ainsi qu'un jean bleu foncé ainsi qu'une paire de chaussette courte blanche. Sans attendre, je la plaque contre son lit.
- Tu t'es déjà échappé ? T'es pas drôle.
J'ignore pourquoi, mais elle n'oppose aucune résistance à ma grande surprise. Je lui attache solidement les poignets dans le dos en alternant les tours horizontaux et verticaux, avant de pouvoir retirer mon bâillon.
-
Prêt pour le niveau 3 ?
-
J'ai vraiment le choix ?
-
Non, pas vraiment.
Je savais déjà comment j'allais la ligoter. Je l’emmène dans le salon où je l'assoie sur une des chaises à côtés de la table à manger et je commence à attacher son buste à la chaise. Une fois fini, je passe aux pieds puis aux jambes que je serre à la chaise.
-
Je ne risque plus d'aller très loin maintenant
-
Ça c'est sur
-
Tu comptes me bâillonner comment ?
-
Il ne me reste pas une chaussette ?
Elle sourit. Sans attendre, je vais chercher l'orpheline et, contrairement à elle, je l'insère sans la plier. Tout comme moi, la chaussette ne rentre pas entièrement, j'utilise plusieurs bandes du ruban adhésif pour être sûr qu'elle ne la recrache pas.
-
Mmmmm
-
C'est vrai que c'est agréable.
Je pars dans la chambre pour préparer mes affaires. Heureusement pour moi, j'avais prévu plusieurs paires de chaussette. Aujourd'hui je m'habille en mode "classique" : pull noir, jean bleu foncé et des chaussettes blanches. En revenant dans la cuisine, je regarde comment se débrouille ma demoiselle en détresse et elle semble toujours en détresse. Elle est en train de se débattre férocement, cela lui donne un côtés sauvage et sexy. Elle se débat tellement que la chaise se soulève avant de retomber sur ces quatre pieds.
-
Ne prend pas trop ton temps cette fois
-
MMMMMMPH
-
Je prends ta douche comme convenu
-
Mmmmm (tout en faisait oui avec la tête)
Sans perdre de temps je file à la douche, j'aimerais bien profiter un peu de ma captive, il me faudra juste 5 minutes pour être prêt et retrouver Manon à la cuisine. En rentrant dans la pièce, je la surprends en train de détacher ses pieds, ses mains et son buste étant libre. Par ailleurs, elle a également retirer son bâillon.
-
Tu as fait vite cette fois-ci
-
Tu as été négligent, me dit-elle en me montrant une paire de ciseaux
-
Ok, je ne referais pas cette erreur la prochaine fois.
Sortie de sa captivité, elle va également prendre une douche avant de prendre un petit déjeuner. Elle m'avoua que sans les ciseaux elle n'aurait pas pu s'en sortir toute seule et que ce soir nous aurions le temps pour une dernière séance de "défi". Nous avons passé le reste de la journée chez différents amis à passer du bon temps. Le soir avant de rentrer, nous allons faire les courses car le frigo était presque vide chez elle. Pour je ne sais quelle raison, ou presque, elle a décidé de m'acheter un bandana rouge... On sait comment ça va finir pour son entraînement ! Une fois rentré, je ne tarde pas à aborder le nouveau défi après avoir rangé les courses.
-
Bon tu es prêt pour la suite de l'entraînement ?
-
Tu sais combien de fois tu m'as attachée ?
-
...3 fois
-
Et combien de fois je t'ai attaché ?
-
... Une fois
-
Tu ne croit pas que c'est à mon tour de t'attacher ?
-
Ce n'est pas fois qui fait babysitter ici
-
Tu as si peur de relevé le défi ?
-
J'ai l'impression que je n'ai pas le choix
-
Peut-être que je t'accorderais de m'attacher une dernière fois si tu te libères assez vite
-
Ça marche, de toute façon je vais m'en sortir sans problème.
Chapitre 4 :
Nous voilà reparti pour un tour. Va falloir être à nouveau performant si je souhaite attacher une dernière fois cette chère Manon qui me demande de m’asseoir. Elle veut sans doute que je me retrouve dans la même position qu'elle ce matin. Elle prend le ruban adhésif, j'en profite pour voir la quantité qu'il en reste et je dois avouer que j'ai peut être un peu trop f o r c é ce matin, j'ai l'impression qu'il en restera juste pour moi vue le peu qu'il reste.
- Met tes mains derrières la chaise
Je m’exécute. Elle commence à attacher mes mains avec le ruban, mais elle fait seulement deux tours qui ne sont franchement pas convaincant. Elle doit avoir une idée en tête ou elle souhait attacher la plupart des partis de mon corps, donc elle économise. Sans attendre elle commence à attacher mon buste a la chaise. A ma grande surprise, elle utilisa tout le reste du ruban pour m'attacher le buste, étant donné la quantité utilisée, je ne pourrai pas me débarrasser de cette chaise facilement.
- Attends, je n'ai pas fini je reviens
Difficile à croire, mais je prie pour qu'elle revienne avec un nouveau ruban, car déjà, être ligoté sans être bâillonné c'est moins marrant en plus d'être moins joli et puis je veux de quoi l'attacher aussi. En gentleman, j'attends qu'elle revienne terminer son oeuvre, me détacher tout de suite serait trop facile. Ma surprise fut grande quand je l'ai vu revenir avec 4 foulards noirs comportant des motifs blancs.
-
Tiens tu m'avais pas parlé de ça
-
Je te gardais la surprise
Je n'aime pas trop ce genre de surprise... Elle me retire le ruban qui entoure mon poigne pour le remplacer par un de ces foulards. Ceci explique cela. Elle n'avait jamais eu l'intention de m'attacher complètement avec du tape mais avec ces foulards, le tape ne servant finalement qu'à me fixer à la chaise. Je n'ai pas pu voir comme elle s'y prend mais le nœud est réussi, le foulard est bien serré et le nœud est compliqué à atteindre pour mes mains en croix.
-
Depuis quand t'attache les gens aussi bien ?
-
Faut bien ça pour pas que je me retrouve pas à nouveau attaché, surtout que tu connais l'existence de ces foulards.
-
Crois moi, si je m'en sors je me vengerais dans les règles.
Ensuite elle s'attaque aux pieds, au lieu de les lier entre eux, elle préfère les attacher directement aux pieds de la chaise et légèrement en hauteur pour pas que je n'ai d'appui. Evidemment, ce sont à nouveau des foulards qui viennent m'entraver avec des nœuds au moins aussi efficace que ceux de mes mains. Ça va être un vrai défi de se détacher, je dirais même que c'est mission impossible pour un débutant comme moi. Manon débuta une nouvelle conversation :
-
Je vais devoir m'absenter, je dois aller chercher mon ordi en réparation chez un ami, ça va nous éviter de nous emmerder à nouveau devant la télé ce soir.
-
Tu n'as pas peur que je m'ennuis pendant que tu n'es pas là ?
-
Si tu veux je peux renforcer la difficulté si t'a peur de t’échapper trop rapidement.
-
Il te reste encore du matos, autant tout utilisé non ?
Elle prend le dernier foulard et l'utilise pour me bander les yeux.
-
J'en ai pour un petit quart d'heure, j'aurais bien voulu y aller tout à l'heure mais c'est à l'opposé des magasins on est obligé de repasser par ici. Ne t'en fais pas je ne resterai pas traîner.
-
Un quart d'heure ? C'est amplement suffisant.
Elle effectue un double nœud pour s'assurer le foulard ne tombe pas. Avec ça, je ne pourrai pas m'aider de ce qui m'entoure.
-
Tu te surestimes, je suis encore le numéro 1 dans ce jeu, c'est moi qui se détache le mieux mais qui attache le mieux également.
-
Tu veux que je te rappelle ton cuisant échec de ce matin ?
-
Je ne voulais pas commencer trop dur avec toi.
-
Tu veux plus de temps pour trouver une excuse ?
-
Hé, tu sais ce qui manque à cette conversation ?
-
Heu... Non.
-
Un bâillon !
A ce moment, quelque chose rentre dans ma bouche, Manon s’empresse de le serrer et cela malgré le fait que je ne résiste pas. Même avec mes yeux bandés, je peux affirmer que mon bâillon est tout simplement le bandana qu'elle m'a acheté cette après-midi. Elle a pensé à tout, c'est attentionné... D'une certaines manière.
-
Faudrait te bâillonner plus souvent, t'as l'air plus intelligent étant donné que tu ne dis pas de connerie.
-
MMMMMMMMMMPPPPPPHHHHHHH (J'aurais ma revanche !)
-
Oui oui, mmmm mmmm mmm, comme tu dis. Allez à tout à l'heure et bonne chance !
15 minutes... Je n'ai pas le temps de traîner, déjà qu'avec une heure je ne suis pas sûr d'y arriver. Ça promet d'être intense ! A peine j'entends la porte se refermer, je commence à me débattre. Mes premières intuitions étaient bonnes, les nœuds sont très bien serrés. J'aurais bien voulu m'aider de ce qui m'entoure comme Manon ce matin, mais avec ce bandeau sur les yeux, j'ai plus de chance de tout casser que de réellement me sortir de ce pétrin. En plus de ça, mes pieds ne m'aident pas, je ne sais pas si Manon s'en est rendu compte en le faisant, mais en attachant mes pieds ainsi je n'ai pas d'appui, j'ignore complètement comment je vais pouvoir les détacher. Mon buste n'en parlant pas, avec tout ce ruban adhésif utilisait, je ne vais pas pouvoir le décoller sans une bonne paire de ciseau.
Dégager mes mains semblent être mon seul échappatoire. J'essaye de f o r c e pour faire "casser" le nœud, mais il est bien trop solide pour ça. Après avoir forcé plusieurs fois, je tente d'atteindre le nœud, il a peut-être changé de position et je peux y avoir accès désormais. Mais je ne fais que l’effleurer, ce n'est pas comme ça que je vais m'en sortir. Tant pis, je vais tenter autre chose : je vais essayer de faire glisser le foulard sur mon poignet droit. Je m'explique, je vais tout d'abord utiliser ma main droite pour élargi l'espace entre mon poignet droit et le foulard. Etant donné l’efficacité du nœud, mais aussi à ma position, je n'arrive pas réellement créer un espace. Tant pis, j'agrippe le foulard avec ma main gauche et je tire vers le bas tout en tirant mon poignet droit vers le haut. Malheureusement, le foulard bouge à peine... C'est désormais une certitude, je dois trouver quelque chose pour m'aider à me détacher. Le foulard ne laisse échapper que quelques pointes de lumière, il recouvre intégralement mes yeux. Je tente de secouer ma tête dans tous les sens avant de faire des ronds. Mais il ne cède pas ! Je remarque d'ailleurs que mon bâillon est très efficace car, en plus d'étouffer tous mes bruits au plus grand plaisir de Manon, il ne bouge pas plus que le foulard.
Je continus de secouer ma tête jusqu'au moment où j'entends des clés entraient dans la serrure de l'appartement.
-
Mmmmm ?! (Déjà là ?!).
-
Tu n'as pas bouger à ce que je vois.
-
Mmmgph (râlement).
-
Attention, lumière !
A ces mots, elle retire le foulard sur mes yeux sans en défaire le nœud et en le posant sur la table. Elle me fait une tape sur l'épaule et me dit avec un grand sourire :
-
Alors le numéro 1, toujours sur cette chaise ?
-
Mmmmggphhh (un autre râlement).
-
Bon, je vais faire à manger, du coup j'ai besoin de concentration alors tu vas rester comme ça encore un petit moment.
-
Mmmmmpphhh ? (sérieusement ?)
-
T'en a marre de la chaise ? Tu veux être sur un endroit plus confortable comme le canapé ?
-
Mmmmm mmmpgg mgphh (C'est toujours mieux).
Avant d'aller chercher les ciseaux, elle inspecte le foulard qui retient mes mains et le resserre. Tout mon travail parti en fumé. Avec l'aide de sa paire de ciseau, elle commence à découper le ruban avant de s'arrêter brusquement.
-
Ce n'est pas une bonne idée, je te connais, dès que je t'aurais retire le ruban adhésif et les foulards à tes pieds, tu vas partir en courant.
-
Mmmmm (Mais non...)
-
Je vais plutôt commencer par les pieds.
Elle pose ses ciseaux sur la table et défait le nœud des 2 foulards qui entravent mes pieds. Même elle a dû mal à les défaire ! Une fois fait, elle attache mes pieds avec le premier foulard qui lui passe par la main et elle attache le second un peu plus haut que le premier. Enfin, elle défait le nœud du foulard qui servait à me bander les yeux pour pouvoir l'utiliser sur mon pied entre le premier et le deuxième foulard déjà utilisé. Etant donné le regard qu'elle a lancé à mes cuisses, je pense qu'à l'origine, les troisième foulard devait restreindre cette zone. Mais, vue ma position, cela aurait était compliqué. Me voilà avec les pieds solidement attachés avec 3 foulards malgré le fait que je n'avais pas pour projet de m'enfuir, ni les moyens d'ailleurs. Finalement, elle finie de découper les rubans adhésifs qui me relient à la chaise et m'aide à aller au canapé avec mes petites jambes attachés. Une fois assis, elle attrape mes jambes pour me forcer à m'allonger, ensuite elle positionne un coussin sous ma tête. Elle admire son chef-d'oeuvre avant de dire :
-
Attends il manque un petit quelque chose.
-
Mmmmggg ? (Quoi encore ?)
Elle part en direction de sa chambre avant de revenir avec une corde mesurant environ 2m20. Elle me positionne sur le ventre et commence à faire un nœud avec la corde au niveau du foulard qui retient mes mains puis elle relies l'autre bout de la corde au foulard de mes pieds. Et ma voilà en hogtied. En hogtied ? Sérieusement ?! Je suis sûr qu'elle ne connaît même pas ce mot. Quoique, je commence à me poser des questions. Et si elle ne connaît rien au monde du bondage, je me demande vraiment comment elle a eu cette idée.
-
Voilà tu vois bien que je ne suis pas si méchante, t'es maintenant confortablement installé sur le canapé.
-
Gnmmph ? (Confortablement ?)
-
Attends on va voir ce qu'il y a la télé, le temps que je fasse à manger. Ça serait dommage que tu t'ennuis.
-
Mm mmmmgg mmmmmmmphh (Je ne vais pas m'ennuyer avec ça)
Elle allume la télé et choisi de me mettre Gulli... Oui, la chaîne pour enfant. Là, ça va beaucoup trop loin !
-
Bon soit sage mon petit.
-
MMMMMMMPPPPHHHHHH ! (Me parle pas comme ça !)
-
Faudrait jouer à ce jeu plus souvent.
Elle repart à la cuisine fière d'elle. Par chance, le hogtied n'est pas "strict", il ne plie pas mon dos et je peux quand même bouger un minimum mes pieds. Au premier coup d’œil, le nœud de la corde n'a pas l'air extrêmement solide. A défaut de pouvoir complément me détacher, me défaire de ce hogtied serait déjà une petite victoire pour moi. La corde est à porté de mes mains, je l'a saisie et je tire à l'opposer avec mes pieds. Au bout de quelques minutes, le nœud craque et me libère de ce hogtied. Allons narguer un peu ma t o r t i o n n a i r e. Je me lève et je commence à sautillé pour la rejoindre. Manon se retourne, sourie et pose une chaise à côtés d'elle pour m’accueillir. Cependant, elle ne m'aide pas, elle me laisse me débrouiller pour arriver jusqu'à elle. N'ayant pas l'habitude de me déplacer ainsi, je mets un peu de temps pour arriver jusqu’à elle. Une fois l'objectif atteint, elle m'aide à m’asseoir sur la chaise.
- Bon, je suppose que t'a mérité le droit de parler.
Elle retire mon bâillon, j'en profite pour humidifier ma bouche devenu sec à cause du bandana.
-
Globalement je suis bien attaché, mais la corde était vraiment décevante.
-
Tu as perdu mais t'arrive encore à me faire des reproches
-
Faut savoir accepter la critique madame !
Suite à ça, elle décide de me bâillonner à nouveau avec le bandana.
- MMMMMMMMMPH (T'es susceptible)
Avec son plus grand sourire sadique elle me répond :
- T'es calmé maintenant ?
Je lui fait signe de oui avec la tête.
- Tu as déjà pensé à te reconvertir dans le monde du BDSM ? Tu ferais une bonne dominatrice !
Elle rigole.
-
Non quand même pas ! Sauf, peut-être, si c'est uniquement avec toi.
-
Je veux bien, mais faudra changer les rôles de temps en temps.
-
Oublie alors.
Elle pose sa cueillir qui servait à mélanger la viande pour me détacher les mains.
-
Pour m'avoir fait rire, je suppose que tu as le droit de retrouver ta liberté.
-
L'idée ne me déplaît pas.
Enfin si, un petit peu quand même. Manon a vraiment bien réussi son entraînement en tant que t o r t i o n n a i r e, même elle a dû mal à défaire le nœud. Après avoir défait le nœud, elle retourne s'occuper de la viande pendant que je me détache les pieds tout en me demandant :
-
Je ne suis pas allée trop loin ?
-
Non, ça va, on a bien rigolé !
-
Tant mieux, je te rappelle que je dois t'attacher encore une fois !
-
Après tout ce que tu m'as caché et toutes les trahisons, c'est plutôt moi qui devrais t'attacher la prochaine fois.
-
Trahison ? Tu ne vas pas un peu loin ?
Manon ne peut plus s'empêcher de sourire.
-
Si tu ne m'avais pas caché l'existence de cette corde et de ces foulards, l'histoire aurait été différente.
-
Ok, ok, tu marques un point. La prochaine fois peut-être ?
-
J'espère que tu seras prête.
Après ça, je range les foulards et mets le couvert. Malheureusement, nous savions tous les deux que nous n'aurions pas le temps de pratiquer ce jeu le reste du week-end. La journée de demain est bien trop chargé et lundi on sera trop occupé "décuité". Je pars perdant, mais je compte bien avoir ma revanche, ce que je ne manque pas de lui dire lors du repas. Elle n'a pas l'air franchement inquiète, elle ne fait qu'acquiescer bêtement ce que je lui dis tout en insistant sur le fait que le bandana m'allait très bien. En espérant qu'il y est vraiment une prochaine fois...
FIN.
BONUS : Me revoilà chez moi. Ça était un week-end mouvementé. En plus, je reviens avec un bandana chargé de souvenir. Etant donné l'endroit où il a traîné, je décide de le mettre à laver. Une fois propre je ne pus résister, je fonce à la salle de bain pour l'essayer, me bâillonner ! Et je dois dire que Manon a raison, ce bandana me va très bien.
Croquinou
Cette ressource n'a pas encore été commentée. |
Ce site Internet est réservé à un public majeur et averti et est conforme à toutes les règlementations françaises en vigueur. Il contient des textes, des liens et des photos classées X qui peuvent être choquantes pour certaines sensibilités.
Je certifie sur l’honneur :
- être majeur selon la loi en vigueur dans mon pays.
- que les lois de mon état ou mon pays m'autorisent à accéder à ce site et que ce site a le droit de me transmettre de telles données.
- être informé du caractère pornographique du serveur auquel j'accède.
- je déclare n'être choqué par aucun type de sexualité et m'interdit de poursuivre la société éditrice de toute action judiciaire.
- consulter ce serveur à titre personnel sans impliquer de quelque manière que ce soit une société privée ou un organisme public.
Je m'engage sur l'honneur à :
- ne pas faire état de l'existence de ce serveur et à ne pas en diffuser le contenu à des mineurs.
- utiliser tous les moyens permettant d'empêcher l'accès de ce serveur à tout mineur.
- assumer ma responsabilité, si un mineur accède à ce serveur à cause de négligences de ma part : absence de protection de l'ordinateur personnel, absence de logiciel de censure, divulgation ou perte du mot de passe de sécurité.
- assumer ma responsabilité si une ou plusieurs de mes présentes déclarations sont inexactes.
- j’ai lu, compris et accepte sans réserve les conditions générales rédigées en français même si j’ai usage d’un traducteur automatique ou non pour accéder à ce site internet.
Toutes les images contenues dans ce site sont en accord avec la loi Française sur la pornographie (aucune image de mineur n'est présente sur ce site)